Chris Ferguson
Poker Source: Quelle est votre souvenir d'enfance préféré?
Chris Ferguson: [Gloussement] Je ne sais pas si j’en ai des spécifiques. J’aimais bien faire des problèmes. Un peu de problèmes pas trop. J’ai eu une enfance merveilleuse. J’ai eu une enfance fantastique.
L’école m’a toujours plu. Je crois que ma mémoire préférée de mon enfance est de mon prof de français, qui chose curieuse, fut probablement la personne la plus amusante de ma vie. Ce serait très difficile de vous donner des exemples à ce sujet, mais il faisait vraiment un show pour les étudiants. Il prétendait toujours être quelqu’un d’autre, d’être un complet idiot qui se souvenait jamais des prénoms de personne ; il était vraiment drôle. C’est à ce moment là que je me rendais compte que j’aimais l’école, car je sortais de sa classe de si bonne humeur et nous passions tous des moments tellement agréables.
PSO : Comment est-ce que jouer au poker à change votre vie?
Chris Ferguson: Je ne sais pas si ça à change ma vie ; c’EST mas vie ; ce l’a toujours était ma vie après tout. J’étais étudiant et puis juste après ma graduation de UCLA, je suis allé direct au poker. Donc, je sens bien qu’il a toujours fait partie de ma vie et je ne pense pas qu’il a changé ma vie. C’EST ma vie et dans un sens, ce l’a toujours était.
PSO : Quelle a été votre plus grande extravagance depuis que vous êtes devenu pro ?
Chris Ferguson: Je vais à une boîte de nuit de temps en temps [rires] et je dépense un peu d’argent pour mes amis, mais c’est tout.
PSO : Si vous ne seriez pas un joueur de poker, comment vous gagneriez vous la vie ?
Chris Ferguson : Vous voulez que je vous dise en dansant? Je ne le crois pas… Je ne suis pas un danseur professionnel et je ne crois que je veuille l’être non plus. Je crois que je serais dans la Bourse. Mais peu importe, je serais quand même entrain de danser, mais probablement jamais professionnellement.
Au fait, j’étais prof de danse, mais même à ce moment là je n’étais pas professionnel. Je l’ai fait pour le club de danse de UCLA.
PSO : Quel est le pire d’être reconnu ?
Chris Ferguson: J’adore être reconnu. Mais de temps en temps, vous avez besoin d’aller quelque part et vous êtes vraiment pressé, c’est le seul moment. Le reste du temps j’adore que le gens me reconnaissent. Quand je suis pressé et je dois aller quelque part, je n’aime pas être impoli avec les gens, donc j’adore donner du temps aux gens.
C’est de plus en plus difficile, spécialement lors de l’événement principal. J’ai plein de choses dans la tête à ce moment là, donc c’est un peu dur car il y a tellement de fans du poker en ce moment. J’adore les fans.
PSO: Quel est le point faible et le point fort de votre carrière de poker ?
Chris Ferguson: Le point faible fut il y a trois jours, quand on m’a mit KO lors de l’événement principal à la Série Mondiale. C’est absolument le plus grand événement de l’histoire. Chaque année est historique, mais cette année est vraiment spéciale. Plus grande que jamais. Donc je pense que c’est le point le plus faible de ma carrière. Je n’ai vraiment jamais eu de points faible ou bas, donc je dirais celui là.
Le plus fort est quand j’ai gagné la Série mondiale en 2000.
PSO: Où allez-vous quand vous n’êtes pas entrain de jouer au poker ?
Chris Ferguson: Je vais danser. Je ne sors pas pour simplement pour sortir. N’importe quelle ville où je vais, je trouve une boîte de nuit pour y aller. Normalement quand je joue au poker, je ne suis pas à Los Angeles, donc je dois demander aux locaux quelles sont les meilleures boîtes. Si non il faut que je trouve tout seul, et c’est assez simple aussi.
PSO : Quelle est votre plus importante ou plus fière réussite ?
Chris Ferguson: Je crois que créer Tiltware, la compagnie qui conçu le logiciel pour Full Tilt Poker. C’est probablement l’une de mes plus grandes réussites. Je crois que nous avons créé une très grande société et je suis extrêmement fier de tout le monde qui travail pour la compagnie.
PSO: Qui pourra jouer VOTRE rôle dans l’histoire de Chris Ferguson?
Chris Ferguson: Johnny Depp. C’est mon acteur favori, donc c’est celui que je choisirais.
PSO: Quelle est la question qui vous embête le plus des interviews?
Phil Gordon, qui regardait: Celle-ci!
Chris Ferguson: Nous avons atteint le nouveau point faible ! [rires] Non, c’est pas vrai… Quelque chose comme : « De qui avez-vous plus peur à une table et qui est le meilleur joueur ? »
Publié originalement le 20 juillet 2005